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z promis depuis bien longtemps, ma chere maman, de venir refaire connaissance avec Nohant; vous ne pouvez choisir un meilleur moment pour nous faire ce plaisir, puisque Hippolyte et sa femme y sont deja et que je n'ai nulle affaire qui me force a le quitter d'ici a plusieurs mois. Si vous vous sentez assez forte pour entreprendre la route, vous nous trouverez toujours heureux de vous soigner et de vous distraire autant qu'il dependra de nos ressources a cet egard. Mes enfants se portent bien. Maurice vous embrasse, et nous en faisons tout autant, si vous le permettez. Moi, pour ma part, je reclame pourtant un plus gros baiser que les autres. XXX A M. JULES BOUCOIRAN, A PARIS[1] Nohant, 2 septembre 1829. M. Duris-Dufresne [2] m'a fait passer, monsieur, votre reponse aux propositions dont il a bien voulu se charger de ma part aupres de vous. Nous sommes d'accord des ce moment, et, si mon offre vous convient toujours, je vous attendrai au commencement d'octobre. Le bien que M. Duris-Dufresne nous a dit et de la methode et du professeur nous donne un vif desir de connaitre l'un et l'autre, et nous nous efforcerons de vous rendre agreable le sejour que vous ferez parmi nous. Si, dans votre methode, il est quelque preparation prealable qu'il soit a ma portee de donner a mon fils, veuillez me l'indiquer, afin de rendre votre travail plus facile; sinon, je le disposerai toujours a vous montrer de la docilite et de la reconnaissance, et, ce dernier sentiment, ses parents le partageront, n'en doutez pas. Agreez, monsieur, l'assurance de la consideration distinguee avec laquelle j'ai l'honneur de vous saluer. AURORE DUDEVANT. [1] Jules Boucoiran, precepteur de Maurice, puis ami intime de la famille. Plus tard, redacteur en chef du _Courrier du Gard_. [2] Duris-Dufresue, depute de l'Indre. XXXI A M. CARON, A PARIS Nohant, 1er octobre 1829. Mon cher Caron, Je suis bien votre servante. Je vous salue et vous embrasse de tout mon coeur. Maintenant, dites-moi ce que vous avez fait d'une certaine lettre de Felicie que vous m'annoncez et que vous ne m'avez pas envoyee? Tete de linotte! a votre age! fi! Cherchez sur votre bureau et reparez votre oubli en me la renvoyant bientot et m'ecrivant aussi, pour votre part, une longue lettre. Permettez-moi de vous donner quelques commissions. Il y a longtemps que je ne vous ai _em
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