que,
pleasing images of grief; as it were, little idols of his goddess; and
he fashioned them with an exquisite humour and affection. What animal of
the sixteenth century lives so clearly as these two? None, I think,
except some few in the pictures of the painters of the low countries.
I wish I had space to print both these threnodies in full, but they are
somewhat long, and I must beg my reader to find them in the printed
works of Du Bellay. It is well worth the pains of looking.
_THE DOG._
_Dessous ceste motte verte
De lis et roses couverte
Gist le petit Peloton
De qui le poil foleton
Frisoit d'une toyson blanche
Le doz, le ventre, et la hanche._
_Son exercice ordinaire
Estoit de japper et braire,
Courir en hault et en bas,
Et faire cent mille esbas,
Tous estranges et farouches,
Et n'avoit guerre qu'aux mousches,
Qui luy faisoient maint torment.
Mais Peloton dextrement
Leur rendoit bien la pareille:
Car se couchant sur l'oreille,
Finement il aguignoit
Quand quelqu'une le poingnoit:
Lors d'une habile soupplesse
Happant la mouche traistresse,
La serroit bien fort dedans,
Faisant accorder ses dens_
_Peloton ne caressoit,
Sinon ceulx qu'il cognoissoit,
Et n'eust pas voulu repaistre
D'autre main que de son maistre,
Qu'il alloit tousjours suyvant:
Quelquefois marchoit devant,
Faisant ne scay quelle feste
D'un gay branlement de teste._
_Mon Dieu, quel plaisir c'estoit,
Quand Peloton se grattoit,
Faisant tinter sa sonnette
Avec sa teste folette!
Quel plaisir, quand Peloton
Cheminoit sur un baston,
Ou coife d'un petit linge,
Assis comme un petit singe,
Se tenoit mignardelet,
D'un maintien damoiselet!_
_Las, mais ce doulx passetemps
Ne nous dura pas long temps:
Car la mort ayant anvie
Sur l'ayse de nostre vie,
Envoya devers Pluton
Nostre petit Peloton,
Qui maintenant se pourmeine
Parmi ceste umbreuse plaine,
Dont nul ne revient vers nous._
_THE CAT_
_Pourquoy je suis tant esperdu
Ce n'est pas pour avoir perdu
Mes anneaux, mon argent, ma bource:
Et pourquoy est ce donc? pource
Que j'ay perdu depuis trois jours
Mon bien, mon plaisir, mes amours:
Et quoy? o Souvenance greve
A peu que le cueur ne me creve
Qua
|