rison of Marivaux
with Shakespeare, and in note 2, p. 292, gives a brief sketch of the
origin of this comparison and of its opponents.
[114] For a more complete idea of his drama one may have recourse to
Larroumet, _Marivaux_, pp. 157-320, Fleury, _Marivaux et le marivaudage_,
pp. 66-146, or Printzen, _Marivaux_, pp.41-38, who gives resumes of his
comedies.
[115] Larroumet, _Marivaux_, p. 319.
[116] Marivaux, _Theatre choisi_, Paris, Librairie des Bibliophiles, 1892.
Preface by F. Sarcey, pp. 7 and 15-17.
[117] J. Lemaitre, _Impressions de theatre_, 2e serie, p. 23.
[118] See Lesbros de la Versane, p. 9, who adds: "Ce qui prouve combien
son gout etait sur, puisque ce sont ses meilleures pieces."
De La Porte, p. 3, gives a list of Marivaux's plays most popular with his
contemporaries: "Celles qui reparaissent le plus souvent a la Comedie-
Francaise sont _la Surprise de l'Amour_, _le Legs_ et _le Prejuge vaincu_;
et aux Italiens, _la Mere confidente_, _l'Ecole des Meres_, _l'Heureux
Stratageme_, _les Fausses Confidences_, _l'Epreuve_, _Arlequin poli par
l'Amour_, _la Double Inconstance_, _le Fausse Suivante_, _l'Ile des
Esclaves_, _le Jeu de l'Amour et du Hasard_."
[119] Fleury, _Marivaux et le marivaudage_, p 129.
[120] Lonient, _la Comedie en France au XVIIIe siecle_, p. 367.
[121] Sarcey, in _le Temps_ of April 4, 1881 (see _Quarante ans de
theatre_, tome 11, p. 262), gives an interesting comparison between _les
Fausses Confidences_ and Octave Feuillet's _Roman d'un jeune homme
pauvre_, in which he gives all credit to the former. "M. Octave Feuillet,"
says he, "a recrit (le roman des _Fausses Confidences_) et lui a donne je
ne sais quoi de plus sombre. Son jeune homme pauvre est fier, cassant, et
tombe parfois dans le melodrame; sa jeune fille riche est agitee et
nerveuse; leurs debats sont souvent violents et tristes. Le roman des
_Fausses Confidences_ se joue au contraire dans le pays lumineux des
songes, et Dorante et Araminte charmeront encore les generations futures
quand deja il ne sera plus parle du Maxime Odiot de M. Feuillet et de sa
Marguerite Laroque." Vitet seems to have given an anticipatory reply to
this severe criticism in his _Discours de reception d'Octave Feuillet a
l'Academie francaise_ (March 26, 1863), and Larroumet (p. 197, note 2)
supports the latter's view.
[122] _Causeries du lundi_, tome IX, p. 299.
[123] Acte I, scene VIII.
[124] Colle, _Journal et memoires_, tome II
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