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and Levy's "Napoleon intime," p. 131.]
[Footnote 83: For the subjoined version of the accompanying new letter
of Bonaparte (referred to in my Preface) I am indebted to Mr. H.A.L.
Fisher, in the "Eng. Hist. Rev.," July, 1900:
"Milan, 29 Thermidor [l'an IV.]
"A LA CITOYENNE TALLIEN
"Je vous dois des remerciements, belle citoyenne, pour le souvenir
que vous me conservez et pour les choses aimables contenues dans
votre apostille. Je sais bien qu'en vous disant que je regrette les
moments heureux que j'ai passe dans votre societe je ne vous repete
que ce que tout le monde vous dit. Vous connaitre c'est ne plus
pouvoir vous oublier: etre loin de votre aimable personne lorsque
l'on a goute les charmes de votre societe c'est desirer vivement de
s'en rapprocher; mais l'on dit que vous allez en Espagne. Fi! c'est
tres vilain a moins que vous ne soyez de retour avant trois mois,
enfin que cet hiver nous ayons le bonheur de vous voir a Paris.
Allez donc en Espagne visiter la caverne de Gil Blas. Moi je crois
aussi visiter toutes les antiquites possibles, enfin que dans le
cours de novembre jusqu'a fevrier nous puissions raconter sans
cesse. Croyez-moi avec toute la consideration, je voulais dire le
respect, mais je sais qu'en general les jolies femmes n'aiment pas
ce mot-la.
"BONAPARTE.
"Mille et mille chose a Tallien."]
[Footnote 84: Lavalette, "Mems.," ch. xiii.; Barras, "Mems.," vol.
ii., pp. 511-512; and Duchesse d'Abrantes, "Mems.," vol. i., ch.
xxviii.]
[Footnote 85: Barras, "Mems.," vol. ii., ch, xxxi.; Madame de Stael,
"Directoire," ch. viii.]
[Footnote 86: "Memoires de Gohier"; Roederer, "Oeuvres," tome iii., p.
294.]
[Footnote 87: Brougham, "Sketches of Statesmen"; Ste. Beuve,
"Talleyrand"; Lady Blennerhasset, "Talleyrand."]
[Footnote 88: Instructions of Talleyrand to the French envoys
(September 11th); also Ernouf's "Maret, Duc de Bassano," chs. xxvii.
and xxviii., for the _bona fides_ of Pitt in these negotiations.
It seems strange that Baron du Casse, in his generally fair treatment
of the English case, in his "Negociations relatives aux Traites de
Luneville et d'Amiens," should have prejudiced his readers at the
outset by referring to a letter which he attributes to Lord
Malmesbury. It bears no date, no name, and purports to be "Une Lettre
de Lord Malmesbury, oubliee a Lille." How could the f
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