garet. He is called the thirteenth by Vertot, though
according to other accounts he was but the tenth or eleventh.
198.
'Twas then, when, &c.
The Massacre of Stockholm, as it is commonly called, happened on the 8th
of November, 1520. Of this almost unparalleled act of baseness and
cruelty, Vertot (p. 113, 114, 115, Amst. ed.) gives the following
account, from Zigler, who was an eye-witness, and many other authors of
credit. The pretext for this execution was the demolishing of Stecka, a
castle belonging to the traitor Trolle, which the Swedish States had
ordered to be rased, contrary to the bull of Leo the Tenth.
"Le nouveau Roi fit ensuite inviter tout ces Seigneurs a une fete
magnifique qu'il fit dans le chateau, pour marquer la joie de son
avenement a la couronne. Le Senat en corps, et ce qu'il y avoit de
Seigneurs de la premiere noblesse, a Stocolme, ne manquerent pas de
s'y rendre: ce ne fut pendant les deux premiers jours que festins,
que jeux, que plaisirs; Christierne affectoit des manieres pleines
de bonte et de familiarite; il sembloit qu'on eut enseveli dans la
bonne chere la haine et l'aversion que les deux parties avoient
fait paroitre si long-tems l'une contre l'autre; tout le monde
s'abandonnoit tranquillement a la joie, lors que, le troisieme
jour, les Suedois furent tires de cet exces de securite, d'une
maniere bien funeste."
He then proceeds to relate the proceedings of the Danish Monarch against
the Nobility, in the way of accusation, by means of his ministers the
Danish Bishops, and the Pope's Bull; and having described their pleas,
&c. thus continues:
"Ce Prince sortit ensuite de l'Assemblee, comme s'il cut voulu
laisser la liberte aux commissaires de deliberer: mais en meme tems
on vit entrer une troupe de soldats de ses gardes, qui arretoient
la veuve de l'Administrateur (Christina), les Senateurs, les
Eveques meme, et tout ce qui se trouva de Seigneurs et de
Gentilshommes Suedois dans le chateau.
"Les Eveques Danois, commissaires du Pape, commencerent a instruire
leur proces comme a des heretiques, et comme s'ils eussent ete en
pays d'inquisition; mais la procedure etant trop longue pour des
gens qui etoient deja condamnes, Christierne, dans la crainte qu'il
ne se fit quelque revolte en leur faveur, leur envoya des bourreaux
sans autre formalite, pour leur a
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