et dans les bois, parties
sur l'eau, culture des lettres et des beaux-arts, conversation
spirituelle, tout concourt a repandre dans ce palais enchante des
charmes sur la vie."
Frederic, however, was not a man to waste his time in mere pleasure. He
shared in the revelries of his friends, but he was perhaps the only person
at Rheinsberg who spent his evenings in reading Wolff's "Metaphysics." And
here let us remark, that this German prince, in order to read that work,
was obliged to have the German translated into French by his friend Suhm,
the Saxon minister at Petersburg. Chasot, who had no very definite duties
to perform at Rheinsberg, was commissioned to copy Suhm's manuscript,--nay,
he was nearly driven to despair when he had to copy it a second time,
because Frederic's monkey, Mimi, had set fire to the first copy. We have
Frederic's opinion on Wolff's "Metaphysics," in his "Works," vol. i. p.
263:--
"Les universites prosperaient en meme temps. Halle et Francfort
etaient fournies de savants professeurs: Thomasius, Gundling,
Ludewig, Wolff, et Stryke tenaient le premier rang pour la
celebrite et faisaient nombre de disciples. Wolff commenta
l'ingenieux systeme de Leibnitz sur les monades, et noya dans un
deluge de paroles, d'arguments, de corollaires, et de citations,
quelques problemes que Leibnitz avait jetees peut-etre comme une
amorce aux metaphysiciens. Le professeur de Halle ecrivait
laborieusement nombre de volumes, qui, au lieu de pouvoir
instruire des hommes faits, servirent tout au plus de catechisme
de didactique pour des enfants. Les monades ont mis aux prises les
metaphysiciens et les geometres d'Allemagne, et ils disputent
encore sur la divisibilite de la matiere."
In another place, however, he speaks of Wolff with greater respect, and
acknowledges his influence in the German universities. Speaking of the
reign of his father, he writes:--
"Mais la faveur et les brigues remplissaient les chaires de
professeurs dans les universites; les devots, qui se melent de
tout, acquirent une part a la direction des universites; ils y
persecutaient le bon sens, et surtout la classe des philosophes:
Wolff fut exile pour avoir deduit avec un ordre admirable les
preuves sur l'existence de Dieu. La jeune noblesse qui se vouait
aux armes, crut deroger en etudiant, et comme l'esprit humain
donne toujours dans le
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