undisturbed to the present day.
Figure 7, after Schoolcraft, represents an Indian burial-ground on a
high bluff of the Missouri River.
According to the Rev. J. G. Wood,[41] the Obongo, an African tribe,
buried their dead in a manner similar to that which has been stated of
the Seminoles:
When an Obongo dies it is usual to take the body to a hollow tree in
the forest and drop it into the hollow, which is afterwards filled
to the top with earth, leaves, and branches.
M. de la Potherie[42] gives an account of surface burial as practiced by
the Iroquois of New York:
Quand ce malade est mort, on le met sur son seant, on oint ses
cheveux et tout son corps d'huile d'animaux, on lui applique du
vermillon sur le visage; on lui met toutes sortes de beaux plumages
de la rassade de la porcelaine et on le pare des plus beaux habits
que l'on peut trouver, pendant que les parens et des vieilles
continuent toujours a pleurer. Cette ceremonie finie, les alliez
apportent plusieurs presens. Les uns sont pour essuyer les larmes et
les autres pour servir de matelas au defunt, on en destine certains
pour couvrir la fosse, de peur, disent-ils, que la plague ne
l'incommode, on y etend fort proprement des peaux d'ours et de
chevreuils qui lui servent de lit, et on lui met ses ajustemens avec
un sac de farine de bled d'Inde, de la viande, sa cuilliere, et
generalement tout ce qu'il faut a un homme qui veut faire un long
voyage, avec toux les presens qui lui ont ete faits a sa mort, et
s'il a ete guerrier on lui donne ses armes pour s'en servir au pais
des morts. L'on couvre ensuite ce cadavre d'ecorce d'arbres sur
lesquelles on jette de la terre et quantite de pierres, et on
l'entoure de pierres pour empecher que les animaux ne le deterrent.
Ces sortes de funerailles ne se font que dans leur village.
Lorsqu'ils meurent en campagne on les met dans un cercueil d'ecorce,
entre les branches des arbres ou on les eleve sur quatre pilliers.
On observe ces memes funerailles aux femmes et aux filles. Tous ceux
qui ont assiste aux obseques profitent de toute la depouille du
defunt et s'il n'avoit rien, les parens y supleent. Ainsi ils ne
pleurent pas en vain. Le deuil consiste a ne se point couper ni
graisser les cheveux et de se tenir neglige sans aucune parure,
couverts de mechantes hardes. Le pere et la mere portent le deuil de
leur fils. Si le pere meurt les garcons le portent,
|