riff, in 'Gard. Chronicle,' 1858, p. 771.
[594] 'Pomologie Physiolog.,' 1830, p. 106.
[595] Youatt on Sheep, p. 521.
[596] 'A Treatise on the Almond Tumbler,' p. i.
[597] M. J. de Jonghe, in 'Gard. Chron.,' 1858, p. 173.
[598] Max. Mueller, 'Science of Language,' 1861, p. 223.
[599] Youatt on Cattle, pp. 116, 128.
[600] 'Domesticated Animals,' p. 188.
[601] Volz, 'Beitraege zur Kulturgeschichte,' 1852, s. 99 _et passim_.
[602] Blaine, 'Encyclop. of Rural Sports,' p. 213.
[603] 'Des Jacinthes,' &c., Amsterdam, 1768, p. 43; Verlot, 'Des Varietes,'
&c., p. 86. On the reindeer, _see_ Linnaeus, 'Tour in Lapland,' translated
by Sir J. E. Smith, vol. i. p. 314. The statement in regard to German
shepherds is given on the authority of Dr. Weinland.
[604] Mueller's 'Physiology,' Eng. translation, vol. ii. p. 1662. With
respect to the similarity of twins in constitution, Dr. William Ogle has
given me the following extract from Professor Trousseau's Lectures
('Clinique Medicale,' tom. i. p. 523), in which a curious case is
recorded:--"J'ai donne mes soins a deux freres jumeaux, tous deux si
extraordinairement ressemblants qu'il m'etait impossible de les
reconnaitre, a moins de les voir l'un a cote de l'autre. Cette ressemblance
physique s'etendait plus loin: ils avaient, permettez-moi l'expression, une
similitude pathologique plus remarquable encore. Ainsi l'un d'eux que je
voyais aux neothermes a Paris malade d'une ophthalmie rhumatismale me
disait, 'En ce moment mon frere doit avoir une ophthalmie comme la mienne;'
et comme je m'etais recrie, il me montrait quelques jours apres une lettre
qu'il venait de recevoir de ce frere alors a Vienne, et qui lui ecrivait en
effet--'J'ai mon ophthalmie, tu dois avoir la tienne.' Quelque singulier
que ceci puisse paraitre, le fait non est pas moins exact: on ne me l'a pas
raconte, je l'ai vu, et j'en ai vu d'autres analogues dans ma pratique. Ces
deux jumeaux etaient aussi tous deux asthmatiques, et asthmatiques a un
effroyable degre. Originaires de Marseille, ils n'ont jamais pu demeurer
dans cette ville, ou leurs interets les appelaient souvent, sans etre pris
de leurs acces; jamais ils n'en eprouvaient a Paris. Bien mieux, il leur
suffisait de gagner Toulon pour etre gueris de leurs attaques de
Marseilles. Voyageant sans cesse et dans tous pays pour leurs affaires, ils
avaient remarque que certaines localites leur etaient funestes, que dans
d'autres ils etaient exempt
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