n San Germano] apporto un grandissimo
scandalo e pregiudizio alla religion nostra, e diede alla loro,
reputazione e fomento maggiore." Rel. des Amb. Ven., ii. 74.
[17] Hist. eccles. des egl. ref., i. 432.
[18] "Qu'il ne s'y mettroit si avant qu'il ne s'en pust aisement tirer."
Hist. eccles. des egl. ref., _ubi supra_.
[19] See the frank letter of Calvin, written to him about this time, in
Bonnet, Lettres franc., ii. 441; Calvin's Letters, Amer. ed., iv. 247.
[20] "That pestilent yle of Sardigna!" exclaimed Sir Thomas Smith, a
clever diplomatist and a nervous writer, "that the pore crowne of it
should enter so farre into the pore Navarrian hed (which, I durst
warraunt, shall never ware it), [as to] make him destroy his owen
countrey, and to forsake the truth knowen!" Forbes, State Papers, ii. 164.
[21] Hist. eccles. des egl. ref., _ubi supra_; De Thou, iii. (liv.
xxviii.), 96-99.
[22] Letter of Beza to Calvin, Feb. 1, 1562, Baum, ii., App., 163.
[23] Hist. eccles. des egl. ref., i. 433.
[24] Letter to Calvin, Feb. 26, 1562, _apud_ Baum, ii., App., 167, 168.
[25] Ibid., _ubi supra_.
[26] Recordon, Le protestantisme en Champagne (Paris, 1863), from MSS. of
Nicholas Pithou, p. 105. This learned jurist, the equal of his more
celebrated brothers in ability, and their superior in moral courage, has
left his testimony respecting the beneficent influence of the reformed
doctrines upon his fellow-citizens: "A la verite la ville de Troyes en
general fit une perte incroyable en la rupture de cette Eglise. Car
c'etait une grande beaute et chose plus que emerveillable de la voir si
bien fleurie. Il se voyoit en la jeunesse, touchee par la predication de
la parole de Dieu, qui auparavant etait si depravee que rien plus, un
changement si subit et si etrange que les catholiques memes en etoient
tout etonnes. Car, tels qui au precedent se laissaient aller du tout a
leurs voluptez et s'etaient plongez en gourmandises, yvrogneries et jeux
defendus, tellement qu'ils y passaient la plus grande et meilleure partie
du temps, et faisaient un fort mauvais menage, depuis qu'ils etaient
entres dans l'Eglise quittaient du tout leur vie passee et la detestaient,
se rangeant et se soumettant allegrement a la discipline ecclesiastique,
ce qui etait si agreable aux parents de tels personnages, que, quoiqu'ils
fussent catholiques, ils en louaient Dieu." Ibid., pp. 107, 108.
[27] "Nous avons esperance que non seulement la jeunesse d
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