nd Evelyn on the
Russian Embassies; Milton's account of Muscovy. On the personal habits
of the Czar see the Memoirs of the Margravine of Bayreuth.]
[Footnote 11: It is worth while to transcribe the words of the
engagement which Lewis, a chivalrous and a devout prince, violated
without the smallest scruple. "Nous, Louis, par la grace de Dieu, Roi
tres Chretien de France et de Navarre, promettons pour notre honneur, en
foi et parole de Roi, jurons sue la croix, les saints Evangiles, et
les canons de la Messe, que nous avons touches, que nous observerons
et accomplirons entierement de bonne foi tous et chacun des points et
articles contenus au traite de paix, renonciation, et amitie."]
[Footnote 12: George Psalmanazar's account of the state of the south
of France at this time is curious. On the high road near Lyons he
frequently passed corpses fastened to posts. "These," he says, "were the
bodies of highwaymen, or rather of soldiers, sailors, mariners and even
galley slaves, disbanded after the peace of Reswick, who, having neither
home nor occupation, used to infest the roads in troops, plunder towns
and villages, and, when taken, were hanged at the county town by dozens,
or even scores sometimes, after which their bodies were thus exposed
along the highway in terrorem."]
[Footnote 13: "Il est de bonne foi dans tout ce qu'il fait. Son procede
est droit et sincere." Tallard to Lewis, July 3. 1698.]
[Footnote 14: "Le Roi d'Angleterre, Sire, va tres sincerement jusqu'a
present; et j'ose dire que s'il entre une fois en traite avec Votre
Majeste, il le tiendra de bonne foi."--"Si je l'ose dire a V. M., il
est tres penetrant, et a l'esprit juste. Il s'apercevra bientot qu'on
barguigne si les choses trainent trop de long." July 8.]
[Footnote 15: I will quote from the despatches of Lewis to Tallard three
or four passages which show that the value of the kingdom of the Two
Sicilies was quite justly appreciated at Versailles. "A l'egard du
royaume de Naples et de Sicile le roi d'Angleterre objectera que les
places de ces etats entre mes mains me rendront maitre du commerce de
la Mediteranee. Vous pourrez en ce cas laissez entendre, comme de vous
meme, qu'il serait si difficile de conserver ces royaumes unis a ma
couronne, que les depenses necessaires pour y envoyer des secours
seraient si grands, et qu'autrefois il a tant coute a la France pour les
maintenir dans son obeissance, que vraisemblablement j'etablirois un roi
p
|