es, and not seeing "even a
cat" there, he thought the opportunity a good one to strike up all the
song of which he was capable. His march, far from being retarded by his
singing, was accelerated by it. He began to sow along the sleeping or
terrified houses these incendiary couplets:--
"L'oiseau medit dans les charmilles,
Et pretend qu'hier Atala
Avec un Russe s'en alla.
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Mon ami Pierrot, tu babilles,
Parce que l'autre jour Mila
Cogna sa vitre et m'appela,
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Les drolesses sont fort gentilles,
Leur poison qui m'ensorcela
Griserait Monsieur Orfila.
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"J'aime l'amour et les bisbilles,
J'aime Agnes, j'aime Pamela,
Lisa en m'allumant se brula.
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Jadis, quand je vis les mantilles
De Suzette et de Zeila,
Mon ame aleurs plis se mela,
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Amour, quand dans l'ombre ou tu brilles,
Tu coiffes de roses Lola,
Je me damnerais pour cela.
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Jeanne a ton miroir tu t'habilles!
Mon coeur un beau jour s'envola.
Je crois que c'est Jeanne qui l'a.
Ou vont les belles filles,
Lon la.
"Le soir, en sortant des quadrilles,
Je montre aux etoiles Stella,
Et je leur dis: 'Regardez-la.'
Ou vont les belles filles,
Lon la."[56]
Gavroche, as he sang, was lavish of his pantomime. Gesture is the strong
point of the refrain. His face, an inexhaustible repertory of masks,
produced grimaces more convulsing and more fantastic than the rents of a
cloth torn in a high gale. Unfortunately, as he was alone, and as it was
night, this was neither seen nor even visible. Such wastes of riches do
occur.
All at once, he stopped shor
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